Lexmark vient de publier une étude* démontrant que les connaissances des utilisateurs sont faibles en matière de consommables pour imprimantes laser. Pourtant en étant mieux informées, les entreprises pourraient faire des économies sur les dépenses liées aux impressions.

Retour sur les idées reçues des consommateurs européens :

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Suite aux conclusions de l’étude, voici quelques conseils formulés par Lexmark :

1. La qualité d’impression diminue au fur et à mesure que la cartouche de toner se vide.
Il se peut que la qualité diminue sur bon nombre d’imprimantes, tout particulièrement après l’apparition du message informant que le niveau de toner est faible. Afin d’assurer une qualité d’impression constante, il est recommandé de secouer une ou deux fois la cartouche.

Cependant, d’autres types de cartouches de toner actuellement disponibles sur le marché disposent d’un système qui ne nécessite pas de secouer la cartouche pour garantir la même qualité de la première à la dernière page. Ces cartouches sont suffisamment intelligentes pour qu’il ne soit plus nécessaire de les secouer et elles indiquent le nombre exact de pages que l’on peut encore imprimer avec ce qu’il reste de toner.

2. Remplacer la cartouche de toner dès que le message de niveau faible apparaît entraîne une certaine perte.
Généralement, un capteur indique la quantité de toner restante et émet un message lorsque le toner arrive à un niveau défini. Si vous remplacez la cartouche à ce moment là, vous risquez de perdre une certaine quantité de toner, mais ce n’est pas vrai pour toutes les imprimantes. Outre le message d’avertissement habituel, lorsque le niveau devient vraiment bas, les nouvelles imprimantes Lexmark affichent une estimation du nombre de pages restantes, ce qui permet ainsi à l’utilisateur de ne pas perdre de toner.

3. Les messages indiquant le niveau de toner sont des messages standard et ne tiennent pas compte des caractéristiques d’impression, telles que la couverture moyenne par page.
Une fois encore, cette affirmation s’applique à de nombreuses imprimantes sur le marché. Toutefois, certaines imprimantes sont désormais capables d’analyser les habitudes d’impression et utilisent ces données pour calculer plus précisément le nombre de pages que l’on peut encore imprimer. Cette avancée technologique offre à l’utilisateur davantage de contrôle et, par conséquent, un meilleur rendement.

4. Plus la cartouche de toner est chère, plus le coût par page est élevé.
C’est faux. En règle générale, le coût par page correspond au prix de vente de la cartouche sur la capacité exprimée en nombre de pages imprimées. Aussi, il faut savoir que le nombre de pages que l’on peut imprimer augmente souvent plus que proportionnellement par rapport au prix. En d’autres termes, plus le prix d’une cartouche de toner est élevé pour un segment d’imprimantes spécifique, plus le nombre de pages produits sera élevé et plus le coût global par page sera faible.

5. Il est impossible d’indiquer le nombre escompté de pages que l’on peut imprimer.
C’était vrai… par le passé. Aujourd’hui, les imprimantes les plus récentes sont capables de déceler les niveaux de toner avec plus d’exactitude. Certaines imprimantes affichent des messages plus détaillés quant au niveau de toner et indiquent un compte-à-rebours du nombre de pages que l’on peut encore produire avec ce qu’il reste de toner.

Pour des informations complémentaires, lisez notre article : « Comment choisir une imprimante laser ? »

*Etude réalisée en janvier 2013 auprès de 664 employés de bureau dans onze pays européens.